Tant de silence, tant de soumission, tant d’empressement dans la servitude. Comme on marche sur des talons hauts : comme si on allait démolir le bâtiment entier, comment on avance le dos droit et la nuque raidie de colère et les épaules ouvertes. Mais si le violeur est un puissant : respect et solidarité. Et vous le récompensez. C’est le même message venu des mêmes milieux adressé au même peuple : «Ta gueule, tu la fermes, ton consentement tu te le carres dans ton cul, et tu souris quand tu me croises parce que je suis puissant, parce que j’ai toute la thune, parce que c’est moi le boss.».Alors quand Adèle Haenel s’est levée, c’était le sacrilège en marche. Vous savez très bien ce que vous faites quand vous défendez Polanski : vous exigez qu’on vous admire jusque dans votre délinquance. Faites vos conneries entre vous. Et vous savez très bien ce que vous faites - que l’humiliation subie par toute une partie du public qui a très bien compris le message s’étendra jusqu’au prix d’après, celui des Misérables, quand vous convoquez sur la scène les corps les plus vulnérables de la salle, ceux dont on sait qu’ils risquent leur peau au moindre contrôle de police, et que si ça manque de meufs parmi eux, on voit bien que ça ne manque pas d’intelligence et on sait qu’ils savent à quel point le lien est direct entre l’impunité du violeur célébré ce soir-là et la situation du quartier où ils vivent. Vingt-cinq millions pour ce parallèle. On vous emmerde.Commencez à saisir votre recherche ci-dessus et pressez Entrée pour rechercher. #Covid19 #NosViesPasLeursProfits,Soirée de soutien aux grévistes RATP, ligne 5 : Marie chanteuse d'opéra chante du #Brecht #retraites,Soirée de soutien aux grévistes RATP, ligne 5 : Sabriha, donnons à la caisse de grève ! La loi vous couvre, les tribunaux sont votre domaine, les médias vous appartiennent. On se casse. La différence ne se situe pas entre les hommes et les femmes, mais entre dominés et dominants, entre ceux qui entendent confisquer la narration et imposer leurs décisions et ceux qui vont se lever et se … Et je ne suis certainement pas la seule à avoir envie de chialer de rage et d’impuissance depuis votre belle démonstration de force, certainement pas la seule à me sentir salie par le spectacle de votre orgie d’impunité.Il n’y a rien de surprenant à ce que l’académie des césars élise Roman Polanski meilleur réalisateur de l’année 2020. Ça reste humiliant de voir les participants se succéder au pupitre, que ce soit pour annoncer ou pour recevoir un prix. Tant de silence, tant de soumission, tant d’empressement dans la servitude. Vous n’aurez pas notre respect. Ce soir du 28 février on n’a pas appris grand-chose qu’on ignorait sur la belle industrie du cinéma français par contre on a appris comment ça se porte, la robe de soirée. Le monde que vous avez créé pour régner dessus comme des minables est irrespirable. On leur trouve du talent et du style parce qu’ils sont des violeurs. C’est probablement une image annonciatrice des jours à venir. Il n’y a rien de surprenant à ce que vous ayez couronné Polanski : c’est toujours l’argent qu’on célèbre, dans ces cérémonies, le cinéma on s’en fout. C’est grotesque, c’est insultant, c’est ignoble, mais ce n’est pas surprenant. Je donne 80% de ma bibliothèque féministe pour cette image-là. On ne les aime pas malgré le viol et parce qu’ils ont du talent. Dans nos gueules. Ne jamais parler en public de ce qui se passe pendant les castings ni pendant les prépas ni sur les tournages ni pendant les promos. On a envie de crever. C’est le gros budget que vous lui avez octroyé en signe de soutien que vous saluez - à travers lui c’est votre puissance qu’on doit respecter.Il serait inutile et déplacé, dans un commentaire sur cette cérémonie, de séparer les corps de cis mecs aux corps de cis meufs. Vous exigez le respect entier et constant. Votre puissance est une puissance sinistre. Enfin, ceux qui leur ressemblent, ceux qui sont puissants. Vous n’avez décidément honte de rien. Le temps est venu pour les plus riches de faire passer ce beau message : le respect qu’on leur doit s’étendra désormais jusqu’à leurs bites tachées du sang et de la merde des enfants qu’ils violent. On se lève et on se casse. A la guerrière. Les corps qui se taisent, qui ne racontent pas l’histoire de leur point de vue. Et vous ne tolérez autour de vous que les valets les plus dociles. Dans nos gueules. C’est cette exigence qui fait que lors de la cérémonie tous les corps sont soumis à une même loi du silence. Pas un mot sur Polanski, pas un mot sur Adèle Haenel. Et vous le récompensez. C’est toujours la loi du silence qui prévaut. Ça, c’est le spectacle des césars. Tout le monde sait. Ça reste humiliant de voir les participants se succéder au pupitre, que ce soit pour annoncer ou pour recevoir un prix. Par contre, la voix des opprimés qui prennent en charge le récit de leur calvaire, on a compris que ça vous soûlait. "Je vais commencer comme ça : soyez rassurés, les puissants, les boss, les chefs, les gros bonnets : ça fait mal. »,Tristan Egolf : "Le seigneur des porcheries",Virigine Despentes : «Désormais on se lève et on se barre». Si le violeur d’enfant c’était l’homme de ménage alors là pas de quartier : police, prison, déclarations tonitruantes, défense de la victime et condamnation générale. Vingt-cinq millions, c’est-à-dire plus de quatorze fois le budget des Misérables, et le mec n’est même pas foutu de classer son film dans le box-office des cinq films les plus vus dans l’année. Alors tout le monde se tait, tout le monde sourit. C’est la seule réponse possible à vos politiques. C’est probablement une image annonciatrice des jours à venir. Je ne vois aucune différence de comportements. On a beau le savoir, on a beau vous connaître, on a beau l’avoir pris des dizaines de fois votre gros pouvoir en travers de la gueule, ça fait toujours aussi mal. Le temps est venu pour les plus riches de faire passer ce beau message : le respect qu’on leur doit s’étendra désormais jusqu’à leurs bites tachées du sang et de la merde des enfants qu’ils violent. On se lève et on se casse. Les corps qui se taisent, qui ne racontent pas l’histoire de leur point de vue. Votre plaisir réside dans la prédation, c’est votre seule compréhension du style. Vingt-cinq millions, c’est-à-dire plus de quatorze fois le budget des Misérables, et le mec n’est même pas foutu de classer son film dans le box-office des cinq films les plus vus dans l’année. Vous exigez le respect entier et constant. Adèle je sais pas si je te male gaze ou si je te female gaze mais je te love gaze en boucle sur mon téléphone pour cette sortie-là. Vous serrez les rangs, vous défendez l’un des vôtres. Alors tout le monde se tait, tout le monde sourit. Ça reste humiliant de voir les participants se succéder au pupitre, que ce soit pour annoncer ou pour recevoir un prix. Les choses sont très bien telles qu’elles sont. Les plus puissants entendent défendre leurs prérogatives : ça fait partie de votre élégance, le viol est même ce qui fonde votre style. On se lève et on se casse. La loi vous couvre, les tribunaux sont votre domaine, les médias vous appartiennent. Ça vaut pour le viol, ça vaut pour les exactions de votre police, ça vaut pour les césars, ça vaut pour votre réforme des retraites. On se lève et on se barre. La plus belle image en quarante-cinq ans de cérémonie - Adèle Haenel quand elle descend les escaliers pour sortir et qu’elle vous applaudit et désormais on sait comment ça marche, quelqu’un qui se casse et vous dit merde. Vous serrez les rangs, vous défendez l’un des vôtres. Il n’y a rien de surprenant à ce que vous ayez couronné Polanski : c’est toujours l’argent qu’on célèbre, dans ces cérémonies, le cinéma on s’en fout. Superbe. La plus belle image en quarante-cinq ans de cérémonie – Adèle Haenel quand elle descend les escaliers pour sortir et qu’elle vous applaudit et désormais on sait comment ça marche, quelqu’un qui se casse et vous dit merde. Venez m’expliquer comment je devrais m’y prendre pour laisser la fille violée devant la porte de mon bureau avant de me mettre à écrire, bande de bouffons.Adèle se lève et elle se casse. C’est le gros budget que vous lui avez octroyé en signe de soutien que vous saluez – à travers lui c’est votre puissance qu’on doit respecter.Il serait inutile et déplacé, dans un commentaire sur cette cérémonie, de séparer les corps de cis mecs aux corps de cis meufs. On ne les aime pas malgré le viol et parce qu’ils ont du talent. C’est toujours la loi du silence qui prévaut. On se casse. Pour le courage qu’ils ont de réclamer la morbidité de leur plaisir, leur pulsion débile et systématique de destruction de l’autre, de destruction de tout ce qu’ils touchent en vérité. Vous êtes une bande d’imbéciles funestes. Où serait le fun d’appartenir au clan des puissants s’il fallait tenir compte du consentement des dominés ? On se lève. Le prix de meilleur réalisateur attribué à Polanski? Et je ne suis certainement pas la seule à avoir envie de chialer de rage et d’impuissance depuis votre belle démonstration de force, certainement pas la seule à me sentir salie par le spectacle de votre orgie d’impunité.Il n’y a rien de surprenant à ce que l’académie des césars élise Roman Polanski meilleur réalisateur de l’année 2020. Quand tu confies un budget de plus de 25 millions à un mec pour faire un téléfilm, le message est dans le budget. Votre amour du plus fort est morbide. Cette leçon-là. C’est votre politique : exiger le silence des victimes. On a beau le savoir, on a beau vous connaître, on a beau l’avoir pris des dizaines de fois votre gros pouvoir en travers de la gueule, ça fait toujours aussi mal. «C’est grotesque, c’est … Je donne 80 % de ma bibliothèque féministe pour cette image-là. Alors quand vous avez entendu parler de cette subtile comparaison entre la problématique d’un cinéaste chahuté par une centaine de féministes devant trois salles de cinéma et Dreyfus, victime de l’antisémitisme français de la fin du siècle dernier, vous avez sauté sur l’occasion. Et les puissants aiment les violeurs. On les aime pour ça. Il est entendu que les grands prix continuent d’être exclusivement le domaine des hommes, puisque le message de fond est : rien ne doit changer. Célébrez-vous, humiliez-vous les uns les autres tuez, violez, exploitez, défoncez tout ce qui vous passe sous la main. C’est au respect de cette consigne qu’on sélectionne les employés.Et bien qu’on sache tout ça depuis des années, la vérité c’est qu’on est toujours surpris par l’outrecuidance du pouvoir. Ça fait partie du territoire, et s’il faut nous transmettre le message par la terreur vous ne voyez pas où est le problème. Même pas une blague, même pas une vanne. Nous n’avons aucun respect pour votre mascarade de respectabilité. "On est les humiliées, on se lève et on se casse" : le cri de "rage" de Virginie Despentes après la cérémonie des César.Dans une tribune publiée par "Libération", la romancière, victime d'un viol dans son adolescence, salue le départ d'Adèle Haenel en pleine cérémonie.Virginie Despentes pose à Barcelone (Espagne), le 4 mai 2017. Humilié par procuration que vous ayez osé convoquer deux réalisatrices qui n’ont jamais reçu et ne recevront probablement jamais le prix de la meilleure réalisation pour remettre le prix à Roman fucking Polanski. La différence ne se situe pas entre les hommes et les femmes, mais entre dominés et dominants, entre ceux qui entendent confisquer la narration et imposer leurs décisions et ceux qui vont se lever et se … C’est le même message venu des mêmes milieux adressé au même peuple : «Ta gueule, tu la fermes, ton consentement tu te le carres dans ton cul, et tu souris quand tu me croises parce que je suis puissant, parce que j’ai toute la thune, parce que c’est moi le boss.».Alors quand Adèle Haenel s’est levée, c’était le sacrilège en marche. C’est ça qui est beau, finalement, c’est que ça marche à tous les coups, vos saletés. Votre monde est dégueulasse. Par contre, la voix des opprimés qui prennent en charge le récit de leur calvaire, on a compris que ça vous soûlait. On applaudit les investisseurs, puisque pour rassembler un tel budget il a fallu que tout le monde joue le jeu : Gaumont Distribution, les crédits d’impôts, France 2, France 3, OCS, Canal +, la RAI… la main à la poche, et généreux, pour une fois. Ne jamais parler en public de ce qui se passe pendant les castings ni pendant les prépas ni sur les tournages ni pendant les promos. Si le violeur d’enfant c’était l’homme de ménage alors là pas de quartier : police, prison, déclarations tonitruantes, défense de la victime et condamnation générale. Les uns les autres savent qu’en tant qu’employés de l’industrie du cinéma, s’ils veulent bosser demain, ils doivent se taire. Vous serrez les rangs, vous défendez l’un des vôtres. Cette leçon-là. Je donne 80% de ma bibliothèque féministe pour cette image-là. Les choses sont très bien telles qu’elles sont. Comme on marche sur des talons hauts : comme si on allait démolir le bâtiment entier, comment on avance le dos droit et la nuque raidie de colère et les épaules ouvertes. Ça, c’est le spectacle des césars. Vous êtes une bande d’imbéciles funestes. Parce qu’à la fin de l’exercice, on sait qu’on est tous les employés de ce grand merdier. Je ne vois aucune différence de comportements. Tant de silence, tant de soumission, tant d’empressement dans la servitude. Ça fait partie du territoire, et s’il faut nous transmettre le message par la terreur vous ne voyez pas où est le problème. Et c’est exactement à cela que ça sert, la puissance de vos grosses fortunes : avoir le contrôle des corps déclarés subalternes. Ça vaut pour le viol, ça vaut pour les exactions de votre police, ça vaut pour les césars, ça vaut pour votre réforme des retraites. Vingt-cinq millions pour ce parallèle. Les réalisatrices qui décernent le prix de votre impunité, les réalisateurs dont le prix est taché par votre ignominie – même combat. Ça vaut pour le viol, les exactions de votre police, les césars, votre réforme des retraites. Docteure en anthropologie sociale et ethnologie (EHESS), également titulaire d’un DEA de philosophie, d’un DEA de psychanalyse et formée à la psychosociologie (ARIP).L’intérêt de posséder plus de livres que vous ne pouvez en lire,Depuis la crise du coronavirus, ils ne veulent plus perdre leur vie à la gagner,Être la « meuf bonne » de mon école de commerce a fini par me gâcher la vie. On accuse le politiquement correct et les réseaux sociaux, comme si cette omerta datait d’hier et que c’était la faute des féministes mais ça fait des décennies que ça se goupille comme ça : pendant les cérémonies de cinéma français, on ne blague jamais avec la susceptibilité des patrons. Où serait le fun d’appartenir au clan des puissants s’il fallait tenir compte du consentement des dominés ? On leur trouve du talent et du style parce qu’ils sont des violeurs. Mais si le violeur est un puissant : respect et solidarité. Le temps est venu pour les plus riches de faire passer ce beau message : le respect qu’on leur doit s’étendra désormais jusqu’à leurs bites tachées du sang et de la merde des enfants qu’ils violent. Tribune de Virginie Despentes à la suite du départ d’Adèle Haenel à l’annonce du César 2020 du meilleur réalisateur décerné à Roman Polanski.Que ça soit à l’Assemblée nationale ou dans la culture, vous, les puissants, vous exigez le respect entier et constant. Les réalisatrices qui décernent le prix de votre impunité, les réalisateurs dont le prix est taché par votre ignominie - même combat. En prime, il vous faut le silence de victimes.Je vais commencer comme ça : soyez rassurés, les puissants, les boss, les chefs, les gros bonnets : ça fait mal. Ça vaut pour le viol, les exactions de votre police, les césars, votre réforme des retraites. Pas un mot sur Polanski, pas un mot sur Adèle Haenel. Les corps qui se taisent, qui ne racontent pas l’histoire de leur point de vue. Par contre, la voix des opprimés qui prennent en charge le récit de leur calvaire, on a compris que ça vous soûlait. On se reconnaît. Mais lorsqu’elle “se lève et se barre”, elle ne fait pas défection : elle accomplit un geste de protestation qui s’inscrit dans une lutte. Adèle se lève comme elle s’est déjà levée pour dire voilà comment je la vois votre histoire du réalisateur et son actrice adolescente, voilà comment je l’ai vécue, voilà comment je la porte, voilà comment ça me colle à la peau. On les aime pour ça. Célébrez-vous, humiliez-vous les uns les autres tuez, violez, exploitez, défoncez tout ce qui vous passe sous la main. Que ça soit à l’Assemblée nationale ou dans la culture – marre de se cacher, de simuler la gêne. «Désormais on se lève et on se barre», par Virginie Despentes "Je vais commencer comme ça : soyez rassurés, les puissants, les boss, les chefs, les gros bonnets : ça fait mal. Pour le courage qu’ils ont de réclamer la morbidité de leur plaisir, leur pulsion débile et systématique de destruction de l’autre, de destruction de tout ce qu’ils touchent en vérité. Superbe. Vous savez très bien ce que vous faites quand vous défendez Polanski : vous exigez qu’on vous admire jusque dans votre délinquance. Je vais commencer comme ça : soyez rassurés, les puissants, les boss, les chefs, les gros bonnets : ça fait mal. Himself. Les plus puissants entendent défendre leurs prérogatives : ça fait partie de votre élégance, le viol est même ce qui fonde votre style. Votre monde est dégueulasse. Enfin, ceux qui leur ressemblent, ceux qui sont puissants. On les aime pour ça. Elle est la seule à oser faire une blague sur l’éléphant au milieu de la pièce, tous les autres botteront en touche. Alors quand vous avez entendu parler de cette subtile comparaison entre la problématique d’un cinéaste chahuté par une centaine de féministes devant trois salles de cinéma et Dreyfus, victime de l’antisémitisme français de la fin du siècle dernier, vous avez sauté sur l’occasion. Quand tu confies un budget de plus de 25 millions à un mec pour faire un téléfilm, le message est dans le budget. On leur trouve du talent et du style parce qu’ils sont des violeurs. Et les hasards du calendrier font que le message vaut sur tous les tableaux : trois mois de grève pour protester contre une réforme des retraites dont on ne veut pas et que vous allez faire passer en force. On se reconnaît. Venez m’expliquer comment je devrais m’y prendre pour laisser la fille violée devant la porte de mon bureau avant de me mettre à écrire, bande de bouffons.Adèle se lève et elle se casse. Épisode 2, Partie 1, Donald Trump : une incurie criminelle au service du business, le coronavirus et l’effondrement économique.Face à la crise, quel programme de transition ?Continuités et nouveautés: comprendre la crise économique actuelle.Ni scission, ni marasme : refondation révolutionnaire du NPA !Accord européen : un plan de relance scélérat célébré par le bloc bourgeois,Sur le livre “Plaidoyer pour le Rojava. Vingt-cinq millions pour ce parallèle. On trimballe ce qu’on est et c’est tout. Venez m’expliquer comment je devrais m’y prendre pour laisser la fille violée devant la porte de mon bureau avant de me mettre à écrire, bande de bouffons.Adèle se lève et elle se casse. «Désormais on se lève et on se barre» Virginie Despentes : « Que ça soit à l’Assemblée nationale ou dans la culture, vous, les puissants, vous exigez le respect entier et constant.
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