Lire ses 3 262 critiques, Suivre son activité 33 abonnés Non lui ai-je répondu, à regret. Sébastien Lifshitz, Avec Richard Minier, Edouard Salier, De Lire la critique de Mademoiselle de Joncquières, Tout le cinéma d'Emmanuel Mouret est contenu dans le titre de l'un de ses films : L'art d'aimer. J'ai enlevé une demi-étoile car j'ai trouvé la toute fin un chouïa trop rapide. Cécile de France crève l’écran en Marquise de la Pommeray, justicière calculatrice et perfide des offenses faites aux femmes. 29 abonnés Personnellement j'ai pris ce film comme un coup de poing dans le ventre. Et comme avec son patronyme, on l’imagine volontiers descendante de la Couronne du même nom, on la perçoit faite pour le rôle (bien que n’ayant aucun sang bleu). L’évolution des sentiments de Madame de La Pommeraye se devine par exemple à la variation colorée de ses robes somptueuses. Et bien sûr Edouard Baer, tout à fait crédible et sensible en Marquis libertin. La diction est claire. Contrairement aux apparences, Mademoiselle de Joncquières est loin d’être une simple copie des Liaisons dangereuses de Stephen Frears. Mais il est aussi le seul personnage prêt au pardon, qui parvient à distinguer lucidement, au delà du vernis des apparences sociales, l’authenticité des sentiments. 84 abonnés Et un film finalement tres actuel dans ce qu il aborde sur l’amour, la guerre des sexes, et nos contradictions. Ce qui met en joie. Film de Emmanuel Mouret avec Cécile de France, Edouard Baer, Alice Isaaz : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, les diffusions TV et les replay. Des décors où se déroulent des scènes redondantes surtout dans sa première moitié.... Dans un intérieur lumineux et pastel, celle-ci constitue autant de bouquets aux teintes éclatantes qu’elle pare avec soin sa belle chevelure blonde au cœur de la tourmente. Dans cet éventail chatoyant de masques trompeurs, le cinéaste n’épouse pas le point de vue vengeur de la femme trahie. Lire ses 123 critiques, de Tout simplement...( calembredaines.fr ). Un film d'époque magnifique, on se régale. Après quelques années d’un bonheur sans faille, elle découvre que le marquis s’est lassé de leur union. Je ne pensais pas aller le voir car l’affiche et la bande annonce me faisait encore penser à ces films à la française avec un casting alléchant mais empesé et creux. 6 abonnés La qualité n'est pas toujours récompensée. Découverte Pureté et ravissement. Qui tire les ficelles et qui va sortir les marrons du feu, qui souffre le plus et qui joue, qui ment ? Costumes, mise en scène et musiques sublimes. Antoine de Maximy, Alice Pol, Max Boublil, De Mais, justement, le cinéaste prend ici le contrepied de la tendance actuelle, en signant un véritable « anti revenge movie » qui illustre plutôt, comme dans ses films précédents, la délicatesse et la complexité des sentiments amoureux. Cette vengeance échafaudée par Mme De Pommeraye a d’ailleurs des parfums d’actualité surprenants quand on songe au féminisme avant l’heure, auquel renvoie ce film finalement ! Lire ses 300 critiques, Suivre son activité Alice Isaaz en Mademoiselle de Joncquières n’arrive en scène que tardivement et discrètement. Lire ses 107 critiques, Suivre son activité Vraiment ca fait du bien, cette intelligence là! Voilà un excellent film, qui mériterait amplement de rencontrer son public, mais nous étions cinq dans la salle. Mais qu’on ne s’y trompe pas, malgré de belles phrases rondement et joliment prononcées, les dialogues sont cependant piqués au vif, chacun se renvoyant la balle avec tact et finesse à tout instant et que le meilleur gagne ! J'avais médit, Mademoiselle de Joncquières est un bon film : E.Baer et C.de France ne déchoient pas, merci Monsieur Diderot ! Moins on en sait, plus l’écriture sera à même de déployer son talent pour nous mener où bon lui semble. Le vice, la vertu, la sincérité, l’honnêteté, la fourberie sont à travers ce plan machiavélique parfaitement secoués et mis à mal, et ce qu’il en ressort devient au demeurant une sacrée leçon ! C'est le quarantième film d'Edourd Baer, le trentième de Cécile de France, le septième de Mouret : ils assurent. Je suis ravie de l'avoir vu en avant-première cette après-midi : ce film est excellentissime ! Ah ! Des dialogues et un rythme monotone qui sont symptomatiques des décors qui se résument à un parc bien triste, un château discret et quelques salons. Une femme, Madame de La Pommeraye (Cécile de France), y cherche en effet à se venger cruellement du marquis des Arcis (Édouard Baer), un libertin qui la quitte après plusieurs années de vie commune. Cette duplicité passe mal. Son : Maxime Gavaudan, François Mereu, Mélissa Petitjean, Production : Moby Dick Films, Arte France Cinema, Reborn Production, Interprétation : Cécile de France (Madame de La Pommeraye), Édouard Baer (le marquis des Arcis), Alice Isaaz (Mademoiselle de Joncquières), Natalia Dontcheva (Madame de Joncquières), Laure Calamy (l'amie de Madame de La Pommeraye), Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait. Emmanuel Mouret est vraiment un grand artiste qui mériterait enfin d’être récompensé à sa juste valeur. 656 abonnés En choisissant la langue du XVIIIème, Emmanuel Mouret pousse en effet à son paroxysme son art (rohmérien) du marivaudage, où chacun s’emprisonne dans un rôle au point de ne pouvoir avouer ses sentiments. Le film est tourné sobrement avec beaucoup de plans fixes et d'entrée comme au théâtre. Une collègue m'a demandé si je l'avais vu. 585 abonnés Édouard Baer et Cécile de France y sont merveilleux , jouant leur rôle au premier degré avec beaucoup de sincérité, de simplicité et d’émotion contenue . Ainsi l’orgueilleuse Madame de La Pommeraye dissimule son chagrin derrière une apparence de riante légèreté, au point de prêcher un faux désamour pour découvrir celui, bien réel, de son amant. Je ne m attendais pas à autant de profondeur, sous la comédie et les masques que jouent les personnages. Tout est là pour faire un film pétillant d'intelligence qui rivalise - c'est le plus beau des compliments - avec la violence des sentiments de Choderlos de Laclos et de ses "Liaisons dangereuses". Merci. La très belle Alice Isaaz a vingt-cinq ans, joue parfaitement le rôle d'une jeune fille de seize ans qui devient la jeune femme d'un marquis, mais elle non plus n'en est pas à son premier film. Nonobstant, ledit marquis possède le fâcheux travers d'abandonner ses conquêtes une... Le passage de Jacques le fataliste dont le film s'inspire est... Le plan final succulent. On se pose constamment els questions comme dans un Marivaux. De même, la jeune mademoiselle de Joncquières, engagée par la marquise pour séduire son ancien compagnon et ainsi se venger, se voit obligée de taire sa honte d’ancienne prostituée et sa répugnance pour le mensonge au naïf aristocrate. 1 abonné Avec beaucoup de maitrise, voilà une histoire de séduction et de vengeance bien filmée, solidement mise en scène et plus qu'honorablement interprétée. La Vengeance : un plat qui se mange froid. John David Washington, Robert Pattinson, Elizabeth Debicki. Diderot revisité par Emmanuel Mouret, le résultat vaut largement le détour et le film est à ne pas manquer. Les comédiens sont très bons, dans un registre a contre emploi. N’est pas Glenn Close qui veut, la gentillesse affichée de Cécile de France cadre mal avec le visage odieux qu’elle affiche par la suite. Que nenni !!!! Avec Un cinéma, qui plus est, qui fait aimer notre langue. Vincent Lindon, François Damiens, Contact | Quant à Cécile de France, elle s’impose comme une immense comédienne et mériterait d’avoir le César. Nature et Cinéma : une grande histoire d'amour. Lire ses 116 critiques, Suivre son activité Nous retrouvons Edouard Baer dans un rôle qui lui va comme un gant et Cécile de France qui irradie dans son interprétation. Mais parfois, il arrive qu'une perle rare ne passe pas inaperçue, au milieu de ce florilège de sorties cinématographiques pas toujours réjouissantes. On dirait bien, vu le trailer... Une adaptation d'un passage de Jacques le fataliste de Diderot. Lire ses 2 027 critiques, Suivre son activité Quand vous mettez en plus ces paroles suaves dans la bouche de l'acteur du moment sachant le mieux leur rendre justice ( l'ineffable Edouard Baer ), vous avez là de quoi provoquer des oh ! Lire la critique de Mademoiselle de Joncquières, Certains projets semblent avoir du plomb dans l’aile avant même leur lancement: un texte daté qui semblera ampoulé ou poussiéreux au plus grand nombre, des acteurs ayant jusque-là peiné à convaincre les cinéphiles les plus exigeants, et un thème évoquant des choses déjà lues et vues, dotées d’un souvenir encore flamboyant dans beaucoup de mémoires. 2 abonnés Il s’agit de l’adaptation d’un texte classique , et le réalisateur y met tous les codes mais le jeux des acteurs y apporte une fraîcheur et une modernité faisant ressortir l’immuabilité de nos sentiments. Bref, un très bon moment aussi cruel qu'émouvant et souvent plein d'humour. Une vraie réussite. Par un contraste saisissant, cette comédie cruelle se donne sur une scène à la beauté chatoyante : dans le décor luxueux et bucolique d’un château à la campagne, les costumes de soie sauvage et de dentelles délicates deviennent autant de radieux écrins dissimulant les vraies émotions. De la dentelle, de la finesse, de la beauté , de la subtilité .... chez tous les spectateurs blasés. Mais ce film est avant tout une histoire de femmes, menée par des femmes. Les deux acteurs s’en donnent à cœur joie, d’autant plus que le réalisateur les dirige parfaitement, à l’image de sa façon d’être et de jouer lui-même à l’écran. Ce n’est pas elle qu’on retiendra le plus, non pas qu’elle démérite (loin de là), mais c’est le scénario qui bien que lui ayant confié le rôle titre ne lui laisse finalement qu’une place somme toute en retrait. Autre personnage intéressant et qui marque (une corde plus à son arc) : Laure Calamy dans le rôle de la grande amie de la Marquise, ce qui n’en fait pas pour autant la complice de ses frasques. Accueil » Actualité ciné » Critique » Mademoiselle de Joncquières, de Emmanuel Mouret© Pyramide Distribution. Il semble plutôt nous appeler à la prudence et à la compréhension mutuelle en dressant le portrait émouvant d’un libertin malgré lui. Cecile de France est tres étonnante, à la fois dans son plaisir de jouer la vengeance qu’elle met en place, et l’amour et la douleur qui la traverse. A part Laure Calamy (à qui je ne sais pourquoi on laisse toujours la bride sur le cou alors qu'elle mériterait beaucoup plus de sobriété), la distribution est merveilleuse. Ce nouveau film d’époque résonne donc avec une forte actualité : celle de la déferlante des #metoo vindicatifs suite à la fameuse affaire Weinstein. Certes, le libertin amoureux est d’abord lui-même un comédien risible prisonnier de la mise en scène de la marquise, prêt à endosser tous les rôles pour recroiser Mlle de Joncquières. 3 abonnés En tout cas, cela devient ici une petite merveille signée Emmanuel Mouret qui décidément a un petit quelque chose de plus, et c’est bien agréable... Les films d'époque en costumes, ce n'est pas un gage de succès, mais cela requiert une condition quasi indispensable : une langue châtiée et littéraire. Des acteurs tous impeccables, Cécile de France parfaite, des dictions irréprochables (merci pour mes oreilles) . On oubliera pas des costumes et des images superbes. Par les membres ayant fait le plus de critiques, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, La Femme qui s’est enfuie Bande-annonce VO, Exhibition On Screen: Frida Kahlo Bande-annonce VF. Une histoire d'amour(s) et de vengeance qui nous garde en haleine du début à la fin. "Mademoiselle de Joncquières", libre interprétation d'un récit de Diderot, est de ce point de vue une réussite totale. Jan Kounen, avec Il est aussi impeccable que convaincant. De nouveau un formidable film à ne pas manquer! et des ah ! Follement amoureuse et terriblement blessée, elle décide de se venger de lui avec la... Excellent à tous niveaux : réalisation, interprétation, décors... Un film d'époque magnifiquement bien écrit, bien interprété et bien filmé. Lire l'avis à propos de Mademoiselle de Joncquières, Emmanuel Mouret, diplômé de la Fémis, nous présente son dernier long-métrage, une adaptation de l’histoire de Madame de la Pommeraye issue du conte philosophique de Denis Diderot, Jacques le Fataliste et son maître (1796). Retrouvez les 267 critiques et avis pour le film Mademoiselle de Joncquières, réalisé par Emmanuel Mouret avec Cécile de France, Edouard Baer, Alice Isaaz. Et le texte aussi, tres subtile et elegant. Quelle petite merveille de subtilité et d’émotion! Gagarine, The Nest, Falling, Suivre son activité Une réussite. Ils y sont parfaits! Lire la critique de Mademoiselle de Joncquières, La qualité n'est pas toujours récompensée. Ainsi, dans ce conte moral invitant au pardon plutôt qu’à la vengeance, le spectateur est aussi convié à une transformation bienveillante du regard, devenant plus attentif à l’autre qui nous fait face. Edouard Baer, d’abord volage et leger, atteint aussi un haut niveau de complexité. Quel dommage! Non seulement Emmanuel Mouret adapte lui aussi un chef-d’œuvre littéraire de la fin du XVIIIème siècle – un des récits enchâssés de Jacques le Fataliste de Diderot – mais il y développe également un récit de vengeance féminine semblable à celle du roman de Laclos. Un excellent moment de cinéma! 45 abonnés Ce serait pas une nouvelle version des Liaisons dangereuses, cette affaire ? CGU | Lire ses 9 critiques, Suivre son activité Pourtant, les premières secondes... Dans ce miracle (encore très rohmérien) du sentiment, le corps trahit d’abord l’émotion avant les mots – pour dire le désir, une nuque se donne à contempler en silence ; pour exprimer les tourments d’un repentir sincère, les larmes coulent toutes seules d’un beau visage désespéré. Sauf que ce serait se tromper lourdement que de voir en ce Mademoiselle de Jonquières, une sorte de relecture des Liaisons dangereuses. J'ai adoré et en général j'apprécie tout particulièrement ce genre de films. Lire ses 12 critiques, Suivre son activité Contrairement aux apparences, Mademoiselle de Joncquières est loin d’être une simple copie des Liaisons dangereuses de Stephen Frears. « Mademoiselle de Joncquières » en étant une réalisation d’Emmanuel Mouret, ne pouvait déjà qu’intriguer ne serait-ce que par sa filmographie, tour à tour inégale mais toujours bien personnelle et digne d’intérêt ! Lire l'avis à propos de Mademoiselle de Joncquières, Le gros soucis du film réside dans le fait que le style d'Emmanuel Mouret associé aux conditions sine qua non du film d'époque accentue la sensation de théâtralité. Si bien qu’en se fixant une trame historique, telle cette vengeance de cœur envers le marquis des Arcis, fomentée par Madame De la Pommeraye, Emmanuel Mouret est à la fois dans son plus parfait élément et en même temps se glisse sur les rails d’un récit qui le guident complètement ! Car on se régale évidemment et tout simplement de ces joutes oratoires qui par l’intermédiaire de Cécile de France et de Edouard Baer, deviennent un délicieux plaisir de l’oreille... Le spectateur se laisse charmer par ce marivaudage à l'ancienne. L’éclat du décor sert pour ainsi dire de double à la marquise. Heureusement l'amitié subsiste en réconfort comme le laisse à entendre la dernière scène. Votre avis sur Mademoiselle de Joncquières ? ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Critique de Mademoiselle de Joncquières par Selenie, "L'amour est une offense pour ceux qui en sont dépourvus". À l’inverse du Valmont des Liaisons dangereuses de Laclos, le personnage du marquis des Arcis n’est pas machiavélique. Voilà un excellent film d'époque très réussi, captivant, parfaitement bien joué avec des dialogues aux petits oignons. Ce qui reste d’autant plus remarquable tient justement au portrait de chaque personnage, de ce qu’il représente en tant que valeur, conscience, intérêt, et à ce niveau les apparences sont bien trompeuses ! Il devient au contraire le héros d’un conte moral où il s’agira de traverser les faux-semblants pour faire l’apprentissage du véritable amour. Les dialogues très littéraires, finement ciselés (souvent repris fidèlement du récit de Diderot), servent ici d’abord de masques à la vérité. Faire d’une... L’Amour ! Les rôles secondaires avec la présence d’Alice Isaaz notamment, donnent encore plus de pertinence et de force à cette histoire, par la délicatesse décalée qu’elle apporte dans ce jeu de quilles. Jean-Paul Rouve, Djibril Vancoppenolle, Dayla De Medina, Avec Recrutement | Lire ses 38 critiques, Suivre son activité : 20 abonnés Un point fort déjà fort remarqué dans ces films précédents (« Caprice », « Fais moi plaisir »,...), mais qui ici par le contexte historique, prend encore davantage tout son sens à la vue des décors et des costumes somptueux. Le cœur à ses raisons que la raison ne connaît point... Green Book : Sur les routes du sud (2019), 3 Billboards, les panneaux de la vengeance (2018), Lire l'avis à propos de Mademoiselle de Joncquières, Lire la critique de Mademoiselle de Joncquières. Mouret a certes du talent, et la photographie est superbe qui capte la lumière venant éclairer les innombrables bouquets de fleurs que, oisives, les femmes remettent en ordre, mais le scénario est bien trop cousu de fil blanc et je le préfère dans ses films non costumés où l’intrigue est faite de multiples rebondissements, même si celle-ci n’est pas dénuée de charme. Que ce soit l’histoire ciselée par un orfèvre, avec ses marivaudages, ses intrigues diaboliques, ses nombreux retournements de situation, ou les dialogues intelligents qui font mouche à chaque fois, ou le talent des interprètes tous très justes dans leurs rôles, ou les décors naturels somptueux, les costumes soignés ou la musique contemporaine appropriée, tout est à l’unisson pour une parfaire réussite.
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