L'émission étant à la base conçue pour un public jeune, le décor proposé était haut en couleur avec un sol de couleur verte, une table orangée et un papier peint représentant des gratte-ciel et des constructions urbaines de différentes couleurs (rouge, orange, jaune, vert et bleu) le tout imaginé par Franck Fellemann. L'émission a atteint sa 3000e diffusion le lundi 10 février 2014. À ce sujet, il est à noter que les émissions spéciales dépendent chaque année de la diffusion des deux autres documentaires/débats, Enquête de Santé et Le Monde en Face (présentés respectivement le mercredi en 2017 et 2018 et le mardi en 2018 et 2019). quitte en juillet 2018, la chaîne et le service public pour rejoindre BFM TV[13]. Dans ce carré VIP, c’est Philippe Dessertine qui décroche le pompon avec 16 passages dans « C dans l’air » en un an. En juillet 2011, Laurent Bazin, journaliste à RTL, remplace Yves Calvi, tandis qu'Axel de Tarlé assure la présentation durant le mois d'août[10]. À partir du 4 février 2019, l'émission se dote d'un nouveau décor, une première dans l'histoire du programme. À partir de septembre 2011 et jusqu'en 2013, Laurent Bazin anime l'émission tous les lundis[11], quand Yves Calvi présente Mots croisés sur France 2. Ils sont notamment confrontés à des cadences très soutenues, à des contrats précaires et ne disposent que de cinq jours de vacances par an, une autre partie des congés payés étant incluse dans la rémunération[34]. Le joker de Caroline Roux et d'Axel de Tarlé est désormais Laurent Bazin. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté ET au fond, ce n'est pas la vocation de Wikipédia d'animer un débat. Il est vrai que les journalistes qui pourraient s’en plaindre et dénoncer le scandale se gardent bien de le faire, de peur de n’être pas invités un jour à C dans l’air. "C dans l'air" en prime time ce soir sur France 5 Catherine Nay étrille Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel Caroline Roux aux commandes d'un numéro de "C dans l'air" en prime time. En juillet 2006, Thierry Guerrier (alors directeur adjoint de France Info) assure l'intérim Yves Calvi à la présentation de C dans l'air. Cette émission est devenue pénible. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a prononcé plusieurs sanctions : En mai 2011, dans son blog sur le site du mensuel Le Monde diplomatique[26], l'universitaire Alain Garrigou illustre des possibles confusions d'intérêts, d'une part entre l'animateur et ses invités (Yves Calvi relève que « tout le monde est d'accord autour de cette table », note-t-il), d'autre part dans le choix des invités. Caroline Roux, du lundi au jeudi, et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour … La musique est également remixée. En septembre 2014, le plateau subit à nouveau des changements drastiques : le papier peint "gratte-ciel et constructions urbaines" ainsi que les cadres sont modernisés, toujours par Franck Fellemann, il en est de même pour les mini-cadres dont le fond noir est remplacé par une plaque semi-transparente, les projecteurs diffusent désormais une lumière turquoise et un écran en forme de portable est installé du côté gauche du présentateur (droit à l'écran). Condamné par un tribunal de New York à payer 2 millions de dollars pour utilisation politique de sa fondation, Donald Trump vient également de connaître deux revers électoraux dans les États du Kentucky et de Virginie. La table circulaire est légèrement tronquée et devient semi-transparente, elle se voit également ajouter des extrémités triangulaires, montante d'un côté, descendante de l'autre. L’émission vous offre la possibilité de poser vos questions aux invité.e.s sur le SUJET DU JOUR annoncé en début d’après-midi sur cette page. Pas un événement important qui ne soit évoqué, expliqué et analysé dans C dans l’air. Lorsque l’on me demande qui regarde « C dans l’air », je réponds « tout le monde »,et dans toutes les régions. Lors de son lancement, C dans l'air possédait un logo semblable au logo copyright (un C orange dans un cercle avec le nom de l'émission à l'intérieur) ainsi qu'un générique rythmé et dynamique composé par Jérôme Baur. Logo de C Dans L'air(De septembre 2001 à février 2014), Logo de C DANS L'AIR(De février 2014 à janvier 2019), Nouveau logo de l'émission C DANS L'AIR(Depuis janvier 2019). Caroline Roux et Axel de Tarlé sur le nouveau plateau de "C dans l'air" © Nathalie Guyon / FTV publié par Christophe Gazzano Lundi 04 Février 2019 Si notre public de fin d’après-midi est relativement âgé, la rediffusion en soirée permet de toucher un public d’actifs et beaucoup de jeunes urbains. Pour envoyer votre question, retrouvez les informations de contact en bas de cet article. Elle est présentée depuis du lundi au jeudi par Caroline Roux, et le vendredi et samedi par Bruce Toussaint qui officie également comme joker de Caroline Roux. Politiquement, l'émission met en avant des idées prônant principalement le Libéralisme économique[2]. Étant diffusée à l'époque vers 18h03, la dizaine de minutes consacrée aux questions SMS et Internet était alors réservée uniquement aux téléspectateurs du câble et du satellite, de 19h à 19h10. de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, Ainsi va la démocratie française ! À la suite de l'émission du 11 février 2005 intitulée « Délinquance, la route des Roms », C dans l'air a été accusé par des associations de Roms, le MRAP, la LICRA et la Ligue française pour la défense des droits de l'homme et du citoyen d'un « amalgame entre les Roms et la délinquance »[22]. Les 2 gradins du public sont supprimés, l'espace situé derrière ces gradins est utilisé pour installer le plateau de C à dire, qui précède l'émission tous les jours. chargé de mission alimentation et nutrition à UFC-Que choisir ? magistrate, présidente de chambre à la cour d'appel de Versailles, directeur de l'observatoire Cetelem de l'automobile, conseiller départemental du Puy-de-Dôme, maire de Cébazat (Puy-de-Dôme), professeure à Sciences Po, spécialiste de la Grande-Bretagne, journaliste spécialiste des questions d'environnement, journaliste, spécialiste des questions de sécurité, politologue, directeur de l'Observatoire politique de l'Amérique latine et des Caraïbes de Sciences Po, journaliste au «Figaro», spécialiste du Moyen-Orient, journaliste spécialiste du transport ferroviaire, directeur de Mobilettre, cher du service des maladies infectieuses de l'hôpital Tenon AP-HP, pour «Cabinet de curiosités sociales» (PUF), politologue et directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen, chercheur à l'Ecole normale supérieure, spécialiste du djihadisme, journaliste et auteur de «Corse, l'étreinte mafieuse» (Fayard, 2017), chef adjointe du service économie de France Info, historien, spécialiste de l'histoire politique, historien, professeur à l'Université d'Orléans et à Sciences Po, spécialiste des questions militaires et de renseignement, directeur de recherche à l'IRIS et spécialiste des questions de défense, correspondant de BFM TV à Washington, auteur de «Neron à la Maison Blanche», président de la Fédération des Usagers des transports et des services publics, directeur du département Politique & Opinion d'Harris Interactive, expert-psychologue auprès des tribunaux et auteur de «L'Approche du mal» (Grasset), secrétaire général du Syndicat des Cadres de la Sécurité Intérieure (SCSI-CFDT), agro-économiste, auteur de «Vers un big bang agricole ?», directeur adjoint de la rédaction de l'Equipe, historienne, spécialiste de Corée et coauteure de «Le Monde selon Kim Jong-un», ex-diplomate européen à Washington, auteur de «Journal d'un jeune diplomate dans l'Amérique de Trump» (Gallimard), directeur des études à la Fondation Jean-Jaurès, grand reporter au Figaro et auteure de «Qui est vraiment Donald Trump ?», juge d'application des peines et secrétaire général du syndicat de la magistrature, politologue, dirige le programme Etats Unis de l'IFRI (Institut Français des Relations Internationales), ancienne ministre du Droit des femmes et sénatrice PS de l'Oise, coauteur de «Manuel de survie à l'Assemblée Nationale» (Odile Jacob, 2012), géographe, spécialiste des risques naturels, directeur du Centre d'histoire de Sciences Po, conseiller du président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, directrice de la rédaction brésilienne de RFI, journaliste à France 24, correspondante à Téhéran, journaliste à La Croix chargée de l'actualité économique et sociale, professeur émérite de l'université de Franche-Comté, directrice générale du Centre d'information sur l'eau, grand reporter au service politique du Figaro, directeur du CEVIPOF et professeur à Sciences-Po, journaliste en charge des questions de migration pour le quotidien Le Monde, ancienne directrice du patrimoine au ministère de la Culture, journaliste spécialiste des questions de justice à L'Obs, chercheur en science politique, spécialisé dans la sécurité quotidienne et la police, historienne, spécialiste du Brésil contemporain, auteure de «La Politique en uniforme» (Presses universitaires de Rennes), journaliste franco-algérienne à France 24, professeur d'histoire à l'université de Tours, professeur au Collège de France et médiéviste, politologue et auteur de «France-Algérie. Ce nouvel habillage est composé de lignes transparentes dans une teinte gris foncé. directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po, directeur-adjoint de l'Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale, président du Syndicat national des sapeurs-pompiers professionnels et des agents administratifs et techniques des SDIS de France, spécialiste des affaires européennes, enseignant à Science-Po, médecin urgentiste au Samu de Paris (Hôpital Necker) et président de l'AMUF (Association des médecins urgentistes de France, journaliste, correspondant à Paris pour plusieurs quotidiens régionaux allemands, dont «Südwest Presse», éditorialiste au magazine Alternatives économiques, professeur de droit pénal et procédure pénale à l'université Paris-VIII, et ancien chef de la 1re division de police judiciaire de Paris, chercheur associé à l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques, ancien agent du service action de la DGSE, expert en stratégie militaire et spécialiste des questions de défense, physicien et président de la Commission de recherche et d'information indépendante sur la radioactivité, président de l'observatoire international du terrorisme, rédacteur en chef du «Nouvel Observateur», directrice des études à l'Institut supérieur du travail, directeur général de la Fondation Terra Nova, économiste et coauteur de «Introduction inquiète à la Macron-économie» (Les Petits Matins), général de division de l'armée de terre française, secrétaire général de «Solidaires Finances Publiques», chargée d'étude au Groupe d'information et de soutien des immigrés, président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles, Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous. Pour l’article ayant un titre homophone, voir, « tout le monde est d'accord autour de cette table », « le pluralisme (...) c’est la diversité qui ne suscite pas, ou le moins possible, d’objection des principaux partis et dirigeants politiques », accident de l'avion présidentiel polonais à Smolensk, élection présidentielle française de 2007, élections régionales de décembre 2015 en France, Ligue française pour la défense des droits de l'homme et du citoyen, "À « C dans l’air », on assume (enfin) son parti-pris ultra-libéral", « Pourquoi les journalistes doivent voir Les Nouveaux Chiens de garde », https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=C_dans_l%27air&oldid=181308755, Émission de télévision d'information en France, Portail:Télévision française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, actualités internationales : guerres, conflits, politique, géopolitique, catastrophes humanitaires, terrorismes, Europe, Royaume-Uni, Russie, Afrique, Espagne et continent sud-américain, Etats -Unis, Moyen-Orient, Extrême-Orient…, économie, social et environnement : chômage, croissance, immobilier, prix du pétrole, tourisme, catastrophes et risques naturels…, société : mariage, adoption, religion, psychologie, criminologie, victimologie, vacances, nouvelles technologies…, Une mise en garde pour incitation à la haine à la suite de l'émission du, Une mise en demeure à la suite de l'émission du 10 aout 2010 pour avoir montré à l'écran à la fin de l'émission une question SMS d'un téléspectateur faisant un lien entre origine ethnique ou couleur de peau et délinquance. Yves Calvi présente sa dernière émission le 23 juin[12]. Le 18 mars 2002, l'émission change légèrement de formule, c'est alors qu'apparaissent les fameuses questions SMS et Internet relayées dans un premier temps en cours d'émission.

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